Lucky Peterson bouscule les codes et met le feu sur le festival…

On ne surprend nullement les habitués, en annonçant qu’avoir Lucky Peterson dans sa programmation, c’est l’assurance d’un show de qualité, de forte intensité, un véritable expédient pour combattre l’ennui.

Lucky Peterson aime la scène et la foule, il raffole surtout de ses bains ; au point parfois d’embarrasser son management pour le bonheur et l’extrême jouissance des photographes qui, parfois ne sont pas autorisés de shooter comme ils auraient eu envie.

©Tribune2lartiste/Lucky Peterson/Saveurs Jazz
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Même sans Shawn Kellermann…

Après l’immense performance de Nicolas Folmer, Lucky Peterson prenait d’assaut la scène pour clore une des plus belles journées de cette sixième édition des saveurs jazz festival, au regard de la programmation des deux scènes.

Privé de sa traditionnelle équipe dont l’inimitable et spectaculaire Shawn Kellerman, les inconditionnels ont eu la surprise de découvrir en moins spectaculaire certes, mais tout aussi efficace, Bassam Jalgha. Chargés d’introduire le maitre Lucky himself, Bassam et ses amis impriment dès les premières notes, la coloration et le ton de la soirée.

Lucky Peterson pulvérise la salle par son sens du show, son savoir-faire. Aucun blanc ne s’introduit dans l’enchainement des morceaux. C’est le show total, Lucky fait du Peterson ; et malgré la chaleur, le public est en effervescence.

L’autre moment clé de la soirée est, lors du rappel, l’invitation faite à Nicolas Folmer de venir performer avec lui…Hier sur la Scène du Parc, Lucky Peterson et Nicolas Folmer ont apporté des saveurs particulières au festival, celles que seuls les Artistes savent produire.

©Tribune2lartiste/Lucky Peterson/Saveurs Jazz
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Lucky Peterson reprenant “I can see clearly now”