A.Zomo Bem raconte “Klaus le Branleur”

L’auteur
Je suis Aline Marie-christine Zomo-Bem une franco-camerounaise vivant et travaillant à Paris. J’ai plusieurs casquettes sur ma tête, à la base je suis une  humoriste de talent ayant fait ses preuves dans le monde avec près de trois cent spectacles. Je crée aussi des accessoires de mode ethniques pour faire valoir le savoir-faire africain. Enfin depuis le mois de Décembre, je suis auteure de dix-sept nouvelles et un livre tous édité chez  Edilivre, une maison d’édition qui m’a fait confiance surtout qui rétribue les écrivains, contrairement aux autres maisons d’éditions qui profitent des auteurs africains.

Qu’est-ce qui a inspiré cette œuvre
Klaus le branleur et autres nouvelles est la première série de nouvelles qui est déjà en vente chez mon éditeur, cette œuvre m’a été inspirée par mon quotidien et celui des autres femmes africaines qui subissent les sévices des hommes pervers qu’elles rencontrent sur le net et qui abusent de toutes ces pauvres femmes naïves, paumées et sans avenir .

La matérialisation de l’œuvre
Tout ce que j’écris aujourd’hui vit en moi depuis des lustres, les choses se font quand Dieu nous l’accorde. J’ai pris la plume depuis cinq mois pour écrire tout ce que j’ai vécue et que j’ai observée autour de moi. Je dois vous rappeler que j’ai envoyée mes manuscrits chez une vingtaine d’éditeurs tous ont approuvés mes manuscrits sauf que ce sont les modalités qui ne m’ont pas plu ,et c’est chez Edilivre que les conditions étaient les meilleures. Et j’ai donc envoyée mes manuscrits pour la relecture et la mise en page et puis la finalisation depuis trois mois.

Contexte de rédaction
Tous ceux qui écrivent s’inspirent toujours d’une situation, moi par exemple, j’ai dû arrêter  d’écrire des sketchs pour que je me retrouve avec mon corps et mon âme .J’ai un ordinateur dernier cri qui garde tous mes écrits et je m’en sers aisément parce que j’ai une formation de secrétaire de direction qui ne m’a jamais servie jusqu’aujourd’hui.

Anecdotes et coulisses.
En fait cette nouvelle que j’ai décidée de mettre à la connaissance du monde date de plus vingt ans mais à l’époque, je n’étais pas du tout inspirée, je voulais faire la fête fumer et boire du bon vin. Mais comme j’ai une mémoire d’éléphant dès que mon inspiration est devenue fertile, je me suis jeté à l’eau surtout que tous ses expatriés pervers je les ai par-dessus le nez. Ils profitent de leurs statuts pour venir laisser des microbes en Afrique.

En plus ils ne sont jamais inquiétés, mon rêve est de dénoncer toutes les saloperies humaines que j’ai vue ou entendue dire si et là. J’exhorte d’ailleurs les femmes à se prendre en main au lieu d’attendre tout des hommes parce qu’ils ne nous doivent rien. Je ramène un autre discours parce que les femmes agissent comme des consommatrices alors qu’elles peuvent aussi se prendre en charge.

J’invite aussi tous les camerounais à rester à l’écoute de la CRTV ou j’ai eue la chance de présenter huit émissions. Je rajoute à cette occasion un autre talent de journaliste, comme quoi les anges n’accouchent pas des démons. Ce qui confirme sans  aucun doute que  mon feu  père Abel Zomo-Bem  est l’auteur de mes jours, il m’a tout donné, ça va me valoir des jaloux, mais moi j’avance ou bien.

Un petit résumé de cette œuvre.
Je vous envoie la maquette de l’œuvre ou le résumé se trouve en bonne place. J’invite les passionnés de lecture à lire mes nouvelles caustiques qui ressemblent à mes sketchs, n’oublier pas les mouchoirs et un verre d’odontol ça peut être utile pour vous.