Avec “FLY”, l’envol qui installe définitivement Michael Mayo dans la cour des “GRANDS”
Michael Mayo: “The first job I ever knew someone could have was a professional musician. That left a huge mark on me!”
Vocaliste à la voix suave né et élevé à Los Angeles, Michael Mayo a littéralement baigné dans la musique. Maman chanteuse aux côtés de Beyoncé, Diana Ross, Luther Vandross et Whitney Houston. Pendant que papa non seulement chantait, mais jouait également du saxophone pour Earth, Wind & Fire et des cors pour Sérgio Mendes. Michael n’a pas échappé au virus musical qui a élu domicile dans son environnement familial. Conséquence, le jeune homme a l’une des voix les plus séduisantes de cette nouvelle vague de chanteurs jazz qui éclot et s’installe.
Trois ans après “Bones” son premier album, Michael Mayo revient avec un nouvel album, dans lequel il réunit quelques bons clients bien connus de la scène jazz actuelle. Et lorsqu’on parle du futur du jazz vocal, on ne peut ne pas mentionner Michael Mayo, à coup sûr, il en est un des marqueurs.
Fly, titre éponyme de l’album, résume l’idée et l’esprit dans lesquels s’envole le chanteur. Entre gaieté, légèreté et liberté, le tout emballé par des arrangements soyeux. A paraître le 4 octobre prochain, FLY regroupe Shai Maestro, Linda May Han Oh, Nate Smith, Scott Mayo, Valérie Pinkston, etc…
Le protégé de Herbie Habcock poursuit sa lancée par cet album de 11 pistes. Une galette qui porte bien son nom, car Michael Mayo est en plein vol, illuminant une trajectoire qui nous réserve encore de merveilleuses surprises pour l’avenir, tel que c’est parti. Un album d’une joyeuse légèreté, mais d’une profondeur musicale certaine.