Lorsqu’on parle de voyage dans la musique, Djazil fait également partie de ces ensembles qui en sont la parfaite illustration. D’abord par le profil de ses musiciens, ensuite par la musique que propose cette bande de cinq. Avec l’Été qui pointe le bout du nez, occasion de découvrir ou redécouvrir une musique aussi entrainante que rigoureuse.
Avec à la Bass, un groove raffiné de Thérèse Henry et à la batterie Lukmil Perez, pour asseoir la rythmique avec beaucoup d’adresse. Jonathan Jurion au piano et aux claviers et Cédric Baud, d’un son lumineux à la guitare, éclairent la voie. Mathieu Borgne au Steel-Pan, pour colorer le tout.
En 2011, cette bande de cinq, livrait une magnifique copie au titre éponyme de Djazil. 12 compositions qui dévoilent et décrivent un univers musical ensoleillé, joyeux et noyé dans un jazz sorti d’une certaine rigidité pour une évasion enivrante.
Avant de vous présenter les changements intervenus entre temps au sein du groupe et de vous parler de ses nouvelles compositions qui sont en préparation, savourons en écoute complète (exceptionnellement), cette magnifique composition au subtil nom de Moustic’air.
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