Selon les circonstances, elles peuvent être 3 sur scène, ou alors, accompagnées de leurs musiciens. Dans les deux cas, le plaisir demeure le même. Celui de voir ces dames par leur voix, nous transporter dans leurs univers des chants polyphoniques empreints de la féerie du vodoun.
Carine & Tatiana Ahissou puis Zékiath Abogourin, sont les noms et prénoms de ce trio de femmes, dont le nom, TERIBA, en langue yoruba, signifie humilité. Une humilité qui ne rime pas avec frugalité. Car, tant dans les deux albums (GAN NAN HO sorti en 2006 et AKPE en 2012) qui pour l’instant constituent leur discographie, que sur la scène, le trio fait apprécier la richesse de leur registre musical, qui puise dans la fusion. Mélange de groove, de massè, de tchincounmè, que vient enrichir la finesse de la percussion.
Lentement mais surement, le trio tisse bien sa toile en étendant ses tentacules. L’écho de sa voix débordant les frontières de son Bénin et celles du continent pour retentir ailleurs. Leur remarquée dernière sortie internationale au Montreux Jazz Festival, à l’invitation de leur ainée Angélique Kidjo a, une fois de plus, été l’occasion pour ces dames, de hisser encore plus haut leur voix et partant, la féerie du chant vodoun le tout dans une chorégraphie agréable.
*Vodoun est l’appellation originelle et juste ; qui diffère de celle erronée Vodou/Vaudou, héritée du colon
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