Comment peut-on vouloir définir avec exactitude, vouloir classer avec précision un voyage ponctué de diverses étapes sans courir le risque de le dénaturer et partant, ne pas trahir l’esprit de son initiatrice ? Au nom de quel principe veut-on la classer, elle qui est entrée par “effraction” dans ce monde comme semblait le considérer certains ?
Lowlin résume tout simplement le parcours de cette petite villageoise (comme dans le titre 16) partie de son village natal avec pour tout bagage sa musique comme héritage et symbolisée ici par la flute ivoirienne (ce clin d’œil aux rythmes pygmées plage 17) et qui, à force de travail, a conquis son environnement. Elle y décrit ce long voyage qui en fait est, mélange, fusion, rencontre en s’appuyant sur le Dida, le Lingala, l’anglais et le français comme pour exalter l’ouverture dans l’enracinement.
Lowlin, plus qu’un voyage, est un hymne à la beauté de la musique faite par une petite villageoise avec beaucoup caractère et de talent.
En écoute “La flute ivoire”
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