C’est aussi sur fond de contestation, saine et justifiée, non à l’endroit du festival mais bien au contraire, celle des intermittents du spectacle présents à Vienne et soutenus par leur direction, que la trente-quatrième édition du festival Jazz à Vienne a démarré hier. Le tout dans une atmosphère bon enfant et festive somme toute. Une contestation visible sur des pancartes et autres banderoles aux abords du site du festival et qui surtout traduit l’exaspération de plus en plus croissante des intermittents du spectacle face à l’attitude brouillonne et méprisante d’un gouvernement sourd comme un pot, à leurs conditions de plus en plus précaires.
Malgré ces mouvements de contestations qui pourraient donner l’impression d’une manifestation qui se déroulera au rabais ou d’un minimalisme certain, la 34ieme édition de Jazz à Vienne s’annonce plutôt, au regard de la soirée d’ouverture et le spectacle offert sur la scène du théâtre antique, comme une fête dont la réussite semble écrite à l’avance. Tout est fait, encore plus que par le passé, pour qu’acteurs et spectateurs en gardent un indélébile souvenir…
Par sa maîtrise de la pyrotechnique, la compagnie K a la lumineuse idée d’associer feu et musique pour créer un univers musical qui vous sort de la vie réelle, pour vous transporter dans l’imaginaire.
Ils ne sont pas nombreux qui auraient parié sur eux en tant que futur de l’Afrobeat, comme l’a affirmé Tony Allen en personne, parlant de ces neuf jeunes qui viennent d’Amsterdam et semblent avoir baignés dans ce rythme. S’ils confirment que le talent n’est pas fonction de l’âge, ils confirment un second adage qui veut que la musique ne soit jamais objet de cloisonnement, elle voyage…Et ces jeunes amsterdamois font voyager l’Afrobeat.
Leur musique colorée, ensoleillée et entrainante dévoile aussi le substrat de ce groupe. Leur entrain sur la scène a fait monter la température dans l’enceinte du théâtre antique. Le combo bruxellois a rappelle au public du théâtre qu’avec lui, on bouge, on fait la fiesta quelque soit le rythme auquel il s’attaque.
Comme pour sceller cette relation qui existe entre le Brésil et la France, le football et la musique et montrer le caractère carnavalesque du festival Jazz a Vienne, rien de tel que les saxophonistes et percussionnistes du Samba sax.
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