Dans une de ses chansons, un chanteur populaire du Cameroun, parlant du savoureux et du gouteux du makossa (musique urbaine et non traditionnelle), dit ceci: “Le makossa est comme le ndolè, qu’on le veuille ou pas, on y succombe…”. A la véracité de cette égalité ou alors identité, telle qu’établie par ledit chanteur, ils ne sont pas nombreux à y échapper. Du plaisir gustatif au déhanchement, le ndolè (met bien prisé au Cameroun et essentiellement identifié aux sawas ) et le makossa produisent l’effet d’addiction et peuvent être des sources d’inspiration en tous genres.
Le 08 février dernier à l’I.F.C de Douala, c’est ce que le virtuose de la guitare Lionel Loueke, dans une majestueuse prestation, a eu à confirmer. Oui, comme il est souvent dit ici au Cameroun, il a confirmé le code. Il n’a surement pas dit où et quand il a succombé au charme de ce met, par contre, il en a été si bien inspiré, qu’il en a fait un makossa à la gloire de ces feuilles amères qui, sans une excellence dextérité culinaire… peuvent vous dégouter même d’un déhanchement après consommation. Le frustré bassiste et percussionniste a su, de ses notes guitaristiques, en faire un tout digestif pour le bonheur de l’ouïe.
De profanations dont il est question dans ce spectacle, elles ne se limitent pas qu’à…
Parmi la glorieuse et magnifique liste des instrumentistes iconiques qui pavent le sentier musical sud-africain,…
Un an à peine après la sortie du Volume en 2024, la sud-africaine Tutu Puoane…
Si vous êtes à la recherche d’une quelconque compatibilité entre le Vodun et le Rock…
L’une parmi les dernières légendes vivantes du reggae reste à tous les égards, une référence…
Le 24 juin dernier, comme prévu, Laura Prince a donné le concert de présentation de…