Nous ne savons pas de quel royaume béninois elles sont les princesses. Mais, elles le sont forcément, puisqu’ils (l’ensemble du groupe) ont, par la force de leur travail, leur vision, su en créer le leur. Par contre nous savons dire avec certitude et conviction, qu’elles comptent parmi les meilleures ambassadrices du Kotokoli en dehors du Bénin. Falila Taïrou et Charlotte Kora Pasquier, puisqu’il s’agit d’elles. Une complicité sur scène qui contribue à affermir le lien naturel entre une mère et sa fille.
Que serait donc ce royaume s’il n’avait pas son prince ou ses princes ? C’est ainsi que se mêlent dans l’affaire, fils et frères pour nous conter les histoires, la tradition Kotokoli avec des Beats que n’auraient imaginé leurs ancêtres. Tâches dévolues à Emilien Séréki Pasquier sur scène comme Dj et à son frère UTA à la composition musicale. Loin de dévoyer les traditions chantées et dansées des contrées dont il est question, la fine équipe autour de la matriarche Charlotte Kora Pasquier, en offre plutôt une lecture enjouée, qui, doctement, en distille la quintessence. Puissent les mânes ancestrales guider et éclairer leur trajectoire. Affaire à suivre…
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