©Tribune2lartiste/Hugh Coltman
L’empreinte de Chet Baker déborde largement les frontières du jazz. Le musicien (trompette, bugle) et chanteur, emblématique du style west coast des années cinquante, un cool jazz qui prend alors le contre-pied du be bop échevelé des décennies passées, a laissé une marque indélébile dans l’histoire. Un destin fracassé, à l’instar de ce visage crépusculaire, éminemment photogénique à travers les époques, beau et désenchanté, témoignant une existence bouleversante.
L’hommage est constellé de temps forts, singuliers, comme si tout ce qu’avait touché celui que l’on reconnaît à l’évocation de son simple prénom, « Chet », restait avant tout dans l’inconscient collectif synonyme d’un expressionnisme écorché, de failles en brisures, à fleur de peau.
Chet Baker est ici incarné par des trompettistes et des chanteurs d’aujourd’hui, venus du jazz et de la pop pour réinterpréter des thèmes devenus des classiques de son répertoire. Réalisé par Clément Ducol, l’album compte notamment sur Bojan Z (piano), Cyril Atef (batterie), Christophe Minck (basse) et Pierre-François Dufour (batterie/violoncelle)…soutenus par les voix de Hugh Coltman, Sandre Nkaké, Yael Naim ou Ibeyi pour ne citer que ces quelques noms.
Sortie officielle prévue pour le 29 avril.
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