Jusqu’à son dernier souffle, il lui aura témoigné respect et amitié. C’est exactement le jour de la naissance de son mentor, le 23 septembre, que Pharoah Sanders a aussi quitté la scène terrestre. Une boucle qui s’est bouclée en quelque sorte. Et, une certaine façon élégante, une fidélité à John Coltrane. Mal en point ces dernières années, le saxophoniste a longtemps combattu.
Avec ce départ, nul doute que Pharoah Sanders et celui qu’il surnommait un “Géant”, parlant de Coltrane, continueront à faire entendre leur voix de là où ils sont, pour, martelait-il, “faire chacun son office” sur terre. La mort de Pharaoh Sanders clôt aussi une certaine idée, une certaine philosophie du jazz. Ce jazz d’improvisation vive et écorchée, ce jazz à la fois spirituel et mystique nourrit à la cosmogonie africaine. La fin d’un certain coltrisme, si on peut s’exprimer ainsi. Mission accomplie sommes nous obligés d’admettre, car l’office était de qualité.
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